Deadwood Crazy Alice Short Piramid - Blue Smoke Spirit - Abonnement cigare et cadeaux - livraison en Suisse

Deadwood Crazy Alice Short Piramid

Une âme de biker dans un corps de déesse anticonformiste. C’est elle, notre Crazy Alice.
Un cigare particulièrement agréable et facile à fumer. Une pointe de sucre qui adoucit la dégustation, tel un baiser volé.
L’originalité du format Short Piramid a beaucoup plus à Madame Blue Smoke, car il se glisse dans un sac à main pour s’offrir une pause craquante.

Une âme de biker dans un corps de déesse anticonformiste. C’est elle, notre Crazy Alice. Un cigare particulièrement agréable et facile à fumer. Une pointe de sucre qui adoucit la dégustation, tel un baiser volé.

Fait à la main au Nicaragua, tripe nicaraguayenne, une sous-cape indonésienne et une cape brésilienne Maduro sombre, exhalant des notes de moca avec une douceur naturelle.

Carte de dégustation

L’originalité du format Short Piramid a beaucoup plus à Madame Blue Smoke, car il se glisse dans un sac à main pour s’offrir une pause craquante.

Le côté suave de la cape adoucit les mœurs dès les premières secondes. Il s’agit de ne pas tomber dans le panneau, car un caractère bien trempé vous attend lors de cette dégustation. Progressivement, le cigare monte en puissance sur des arômes de noix et d’épices. Alice vous emmène ensuite sur des arômes plutôt boisés et fruits secs, parfaitement équilibrés avec la cape suave qui caresse les lèvres. Des notes de café et moca se révèlent ensuite.

Grâce à ce format Short Piramid, véritable tour de force technique pour le réaliser, la dégustation s’intensifie, le cigare se réchauffe et la fumée s’amplifie. Malgré la petite taille d’Alice, comptez un bon 35′ à 45′ de dégustation.

L'anecdote cigaresque

Notre Crazy Alice ressemble à ça. Charismatique, anticonformiste et provocatrice. Photo: agence MUTO



Drew Estate

C’est au collège que l’histoire commence pour Jonathan Drew et Marvin Samel. Ces deux « frat bros » de New York amoureux du Nicaragua et des bons cigares débutent leur aventure dans le monde du cigare en tenant un petit kiosk en ville.

Deux ans plus tard, Jonathan déménage à Esteli avec une poignée de dollars en poche et ses trois mots d’espagnol. Il engage quelques torcedors pour rouler les premiers cigares. Pendant ce temps, Samel continue de faire tourner la boutique de New York et emprunte de l’argent à tous ceux prêts à croire en eux.

La route fut longue et sinueuse jusqu’à l’ouverture en 2007 de La Gran Fabrica Drew Estate avec plus de 90’000 cigares roulés tous les jours.

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