Ces femmes qui ont brisé les codes - Blue Smoke Spirit - Abonnement cigare et cadeaux - livraison en Suisse

Ces femmes qui ont brisé les codes

La provocation et l’émancipation.
Historiquement, l’image d’une femme avec un cigare brise les codes genrés traditionnels. Elle évoque une femme sûre d’elle, sensuelle et libre, qui s’approprie un symbole autrefois réservé aux hommes puissants. Plusieurs femmes ont volontairement brisé les codes, cigares aux lèvres, pour affirmer leur indépendance et marquer leur émancipation. Gros plan sur quelques femmes qui ont marqué l’histoire.

George Sand, écrivaine française du XIXe siècle, était connue pour ses choix de vie qui défiaient les conventions, notamment son style vestimentaire masculin et son amour pour les cigares. À une époque où fumer était considéré comme une activité strictement masculine, elle osait fumer des cigares en public, affirmant ainsi son indépendance et sa rébellion face aux normes patriarcales. Pour George Sand, le cigare était autant un symbole de plaisir qu’un acte de défi culturel. Fumer des cigares pour George Sand n’était pas qu’un plaisir personnel. C’était une manière de s’affirmer dans un monde d’hommes, un geste qui incarnait à la fois la provocation, la liberté et la puissance intellectuelle.

Le cigare engourdit le chagrin et remplit les heures solitaires d’un million de choses agréables. Georges Sand

Colette, écrivaine provocatrice du début du XXe siècle, est aussi associée à l’image d’une femme émancipée et sensuelle.

Colette, avec ses récits souvent empreints de sensualité comme Chéri ou Claudine, a également marqué les esprits par son attitude non conventionnelle, fumant en public, écrivant sur les plaisirs sensuels, et vivant des relations amoureuses scandaleuses pour son époque.

Elle n’a pas hésité à se présenter en public avec un cigare ou une cigarette, assumant pleinement son plaisir et son indépendance. Ce geste, à son époque, représentait une forme d’émancipation féminine.

Le cigare chez Colette allait au-delà d’un simple plaisir : c’était un symbole de son désir de liberté, de sa sensualité assumée, et de son refus des conventions.

Colette voyait dans le cigare (ou la cigarette) un prolongement de son caractère : libre, sophistiquée et imprévisible. Cette image est restée gravée dans l’histoire littéraire et culturelle.

Marlene Dietrich, actrice et chanteuse allemande, a souvent été photographiée avec un cigare, défiant les normes de son époque. Dans les années 1930 et 1940, elle incarnait une femme puissante, sensuelle et libre, associant l’élégance au mystère. Le cigare, entre ses doigts délicats, était un symbole provocant d’émancipation et de séduction.

Frida Kahlo, célèbre artiste mexicaine, était également connue pour son goût pour les cigares. Elle apparaissait parfois sur des photographies avec un cigare entre les lèvres, une manière de briser les stéréotypes genrés et d’affirmer sa personnalité forte et non conventionnelle.

Pour Frida, le cigare était à la fois une marque d’indépendance et une extension de son caractère passionné et audacieux.

On ne peut clore cet article sans parler de LA référence féminine dans le monde du cigare. Maya Selva, Héroïne moderne, inspirante, charismatique, volontaire. Elle est la première femme a avoir ouvert sa propre fabrique de cigares à Danli (Honduras).

Maya Selva a su s’imposer comme une entrepreneure visionnaire, réussissant dans une industrie encore largement dominée par les hommes.

Nous avons de plus en plus de Blue Smokeuse, des palais fins, curieux, et sans préjugés. Et c’est comme cela que l’on aime le monde du cigare: sans limite, sans catégorie, juste un moment de partage et de plaisir autour du goût.