Tres Hermanos No 2 Piramide
Une entrée en matière rapide et puissante sur des arômes de cèdre chaud et d’épices. Une pointe de cannelle et de cardamome apporte une dimension plus ronde alors que la fumée délivre des notes d’amande amère.
Deuxième cigare de la marque ailée. Ce torpedo offre à cru des notes d’amandes torréfiées et de cuir. Une première approche qui laisserait presque apparaître une pointe de douceur.
Sous sa belle cape équatorienne, un subtil mélange de tabacs d’horizons variés. De République Dominicaine, Nicaragua et même du Pérou.
Il monte en puissance assez rapidement pour offrir une belle palette de notes grillées, torréfiées avec une agréable amertume qui lui confère une belle longueur en bouche.
On appréciera particulièrement la qualité de sa construction et sa combustion sans défaut.
Carte de dégustation
Notes
L’entrée en matière est rapide et dès les premiers instants le cigare nous offre des arômes de cèdre chaud et d’épices.
Le premier tiers se poursuit avec des notes de poivre de Timut au senteurs d’agrumes et de fleurs avant de se terminer sur une petite pointe de cannelle et de cardamome.
Alors que la fumée se fait toujours plus dense, elle apporte elle aussi son lot de saveurs d’amande amère et de bois brûlé.
Son assemblage nous tiendra en haleine jusqu’à la fin de la dégustation avec un corps de plus en plus dense et complexe.
Pairing
Faites chauffer votre Bialetti et accompagnez ce merveilleux cigare d’un bon café d’Equateur. En soirée, associez-le avec un whisky fumé pas trop tourbé. Si vous le fumez en mangeant, préférez une belle côte de bœuf type « Fleur d’Hérens ». Un régal!
Momentum
En fin de soirée, faites chauffer votre Bialetti et accompagnez ce merveilleux cigare d’un bon café d’Equateur. C’est un cigare que l’on appréciera en fin de repas, idéalement après des grillades. En hiver, on imagine aisément un moment au coin du feu avec un Cabernet Franc valaisan en barrique.
Tres Hermanos
Tour à tour dentiste, vigneron ou encore aviateur, Patrick Assal n’a que faire des sentiers battus.
Sa quête de connaissance commence ado déjà. Amateur des belles tables et du bon vin, il a à cœur d’en savoir plus et se met à cultiver son propre cep dans le but de comprendre comment d’un morceau de bois, on peut produire ce nectar délicat qui coule dans nos verres.
C’est à 24 ans que le plaisir d’un bon cigare le pousse à en connaitre davantage sur ce nouveau produit. C’est alors qu’il se fixe un nouvel objectif… créer le cigare qui lui correspond.
Initialement produit pour un cercle restreint d’amis, la production s’est amplifiée aujourd’hui grâce à l’ouverture de sa propre fabrique à Santiago en République Dominicaine.
